Mariage Tamba Zakari et Esther Bah: une situation loin d’atteindre son épilogue.
Célébré le week-end dernier à la mairie de Matoto, cette histoire de mariage entre Tamba Zakari Millimono journaliste chroniqueur des GG d’Espace TV et Oumou Hawa Bah originaire de Timbi Madina qui s’appelle désormais » Esther Bah » après s’être Baptisée chrétienne, défraie la chronique encore sur les médias et réseaux sociaux.
Au délà du courrier adressé à la mairie de matoto pour demander l’annulation de cette union. le père et la mère de la nommée Esther Millimono expriment leurs désenchantement dans une vidéo qui a fait le tour sur les différentes plates-formes. Dans la vidéo les parents lancent un appel au gouvernement de leur venir en aide afin de récupérer leur fille oumou hawa bah, tandisque c’est une fête totale et la joie indéterminée chez Tamba zakarie Millimono.
Sur la toile, si les gens s’indignent de cet acte et ne savent plus à quel sein se vouer,par contre certains responsables religieux implorent Dieu pour qu’elle revienne dans la religion musulmane
<< Que Dieu détruise cette union et ramène oumou Hawa Bah dans l’islam… Moi en personne il ya des choses que je n’aime pas dire sur les réseaux sociaux, mais c’est grave. Si c’était toi qu’est ce que tu allait faire et dire ça peut nous arriver à tous >> a laissé entendre.
Poursuivant, il revient sur une histoire pareille.
<< Il fut un moment en France une femme avait changé de religion musulmane au profit d’une autre religion mais à travers l’aide des religieux cette femme a retrouvé le bon chemin. Le même cas s’est produit encore, nous avons des oustaz qui ont des diplômes de doctorats, de Master… ils n’ont qu’à sortir faire ce qui doit être fait pour sortir Oumou hawa Bah de cette situation … 》A-t-il dit
Et par ailleurs, d’autres sources laissent entendre que Oumou hawa bah » Esther » se serait déjà mariée à un de ses cousins qui réside même en Côte d’Ivoire actuellement.
Force est de reconnaître que si rien n’est fait par les autorités en place pour apaiser les esprits face à cette problématique d’enjeu religieuse et culturelle, la quiétude sociale risque de se compromettre dans notre pays.
Affaire à suivre