SOCIÉTÉ/ La construction d’une usine de transformation de manioc en amidon c’est très bientôt à Boffa
Ce matin le 19 août 2023, une délégation de la société Kébo et Tiast s’est rendue; dans la préfecture de Boffa. Objectif, identifier les endroits choisis pour l’implantation de cette usine agro industrielle.
Monsieur Mamadou Pathé Barry, le coordonnateur général du projet, chef de mission joint au téléphone par la rédaction du site www.alicomguinee.com pour connaître l’état des lieux.
<< Nous sommes à Tanènè et reçus par le Kountigui de la basse côte pour la suite logique de notre première mission. Dans le débat.
Il a encore réitéré son engagement vis à vis de notre éventuelle collaboration. Après nous continuons la mission à koba. Où il ya un domaine et une pleine très très importante et bien arrosée.
Nous avons essayé de comprendre un peu de l’histoire de ce domaine et ensuite on a tenté de faire de mésure à partir du drône ça été fait, nous avons quitté à Koba, nous sommes venus à côté du rond point de Boffa.
Et , d’ici, nous allons jusqu’a Mankounta tout à l’heure Pour essayer de visiter les domaines qui sont à Mankounta.
Non ! je ne peut pas dire encore, parceque notre mission c’est pour éviter d’avoir beaucoup de chiffres qu’on s’abstient pour le moment jusqu’on produise un rapport de mission>> a_t_ il relaté le chef de mission.
Pour sa part, le directeur préfectoral de l’agriculture et de l’élevage de Boffa, monsieur Saïdouba Sylla a aussi expliqué les démarches à effectuer qui permettront de relancer les activités pour la réalisation de ce gigantesque projet.
<<Bon, au faite cela dépend maintenant de leur efficacité par rapport à la négociation.
Ici, les domaines sont disponibles . Nous venons de koba et à Koba déjà avec tout, on a eu au moins quelque chose de 30 000 hectares nous, on pensais à l’époque pour les premières études données les 17 000 hectares. Mais aujourd’hui, c’est le contraire.
Et après ici nous allons à toungnifili où nous avons plus de 17 000 hectares ça, c’est les premières études au temps de premier régime.
Donc peut être, arrivé là bas nous allons encore trouver les réalités de ce qui est disponible maintenant. Là, nous partons à Mankounta où il y a une prévision de 9 000 hectares .
Donc déjà rien que Boffa. En plus ,nous avons quelque chose de 39 000 hectares de terre disponible. Après là bas, la mission va continuer à boké. Nous allons encore visiter d’autres sites pour la riziculture.
ET de l’autre côté, pour la prochaine mission, ça sera l’identification des zones pour la culture de manioc.
Cela dépend de la façon d’aborder les gens .il faut déjà donner les informations ,la sensibilisation et nous savons que quand un projet habite quelque part, il y a les avantages qui vont revenir.
Parce que quand il y a un aménagement il faut obligatoirement qu’une partie revienne à la communauté qui doit aussi en bénéficier d’avantages.il faut qu’il ait une cohabitation tout, débute d’abord par la sensibilisation et de là maintenant vraiment l’accueil est très chaleureux parce qu’ eux même, ils sont courant.>> Souligne t- il !
A rappeler que les agro-industries peuvent non seulement promouvoir l’industrialisation et l’emploi urbain, mais aussi briser le cercle de ‘l’écart de productivité du développement, réduire les coûts des aliments et les incertitudes des approvisionnements et améliorer le régime alimentaire. C’est pourquoi la société Kébo et tiast dans le rôle de participation à l’amélioration des conditions de vie alimentaire en République de Guinée prévoit de mettre à la disposition de la population guinéenne environ 80 mille hectares du riz et de manioc dans les jours à venir en produit de denrée alimentaire.
Propos recueillis par Ibrahima sory kimambourou
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